Les bannis: L'enfant qui n'aurait jamais du renaître

Présentation (ce topic sera édité régulièrement, restez attentifs) :

Elerinna alias Elie :
Ag e: 16 ans
Fée un peu rebelle, elle refuse de se faire toucher et est complètement insensible au sentiment amoureux, elle est la fille adoptive de La Matriarche et du Patriarche.
Signe particulier: Aile unique, blanche et tranchante.

Spoiler:

Alvin :
Age : 18 ans
Fée amoureux de Elie, ils étaient meilleurs amis durant leur enfance. Mais quand Elie apprit qu'Alvin l'aimait, elle émit une distance, parfois par la violence des propos qu'elle tenait. Mais Alvin est aussi têtu que beau...

Spoiler:

Prologue:

Il y a de cela très longtemps, dans des temps immémoriaux, loin de notre galaxie, existait une monde féérique. Estrid, c'est le nom de cette planète. Fuyant l'ardeur de notre planète Terre, toutes créatures magiques ont trouvé refuge sur Estrid, de la Galaxie d'Antlia. Licornes, Centaures, Dragons, Elfes, Sirènes, Fée... tous vivent en communauté. Mais leur colonisation ne fût pas sans dommages, les créatures qui vivaient déjà sur cette planète se fîrent violence pour empêcher l'invasion. Ils furent les plus faibles. A présent un minuscule territoire leur est consacré, et ce lieu est banni des colonisateurs. Toute créature féérique osant poser pied sur Pirhus, territoire des créatures Estriliennes, se verrait à jamais bannie d'Aliquanta, territoire des colonisateur.

Chapitre 1: Rejet.

Comme toutes les Fées, toutes fêtent leur anniversaire à la nouvelle floraison. Le printemps est de nouveau là. Une grande fête est organisée. Une énorme table, en écorce du chêne qu'elles habitent, est dressée, chaque génération ayant sa partie de table. L'arbre de la colonie est décoré de tissu précieux, spécialité des Fée. L'arbre brillait de mille couleurs. Il ne manquait plus que les fleurs fleurissent pour que la beauté de la décoration atteigne son sommet. Pas de feu chez les Fées, les lucioles suffisaient à éclairer le village. D'ailleur toutes Fées atteignant ses 16 ans de floraisons reçevaient une luciole, signe que ces première ont atteint la maturité. Cette fête battait son plein un peu avant l'aube. Toutes les Fées dansaient sur la place, les plus jeunes écoutaient le patriarche raconter des histoire fabuleuses, quant aux jeunes hommes, ils invitaient de jeunes femmes à danser.
Quand le jour commença à pointer les couples de Fées se mirent aux premier rang du champs de fleurs closes qui s'offrait à eux. Celles qui ont atteint leur maturité au deuxième, le reste était derrière un peu à l'éccart. Le Patriarche et la Matriarche volent jusqu'a une feuille qui surplombe l'assemblée. La Patriarche commença son discourt assomant, seuls les plus jeunes étaient fascinés, les autres le connaissait déjà par coeur, c'était le même tous les ans. Parmi le lot de jeunes fées ayant atteint sa maturité, se trouve la fille adoptive du Patriarche et de la Matriarche : Elerinna alias Elie pour les intimes.

Ce prénom tout droit venue des Elfes signifie "Courronée d'étoiles". La Matriarche l'a adopté alors qu'elle n'était encore qu'au stade de graine. La vieille fée l'a plantée parmie les fleurs de leur champs et la recueillie, dès sa sortie de la fleur, le printemps suivant. Une seule différence la démarquait des autres fée, elle possédait qu'une seule aile, l'autre avait l'air d'avoir été arrachée, car dans son dos, on pouvait voir une horrible cicatrice. Qui plus est son unique aile était blanche et coupante contrairement au autre fée qui arboraient de magnifiques et fragiles paires d'ailes dorées laissant derrière elles une trainée de poussière d'or.
Elie, peut être de part sa différence, possédait un caractère rebelle. Provoquante et récalcitrante, elle s'était attisée de l'antipathie de la part des autres Fées. Seul le beau Alvin, fils du gardien du champs de fleurs, s'obtsinait à vouer un amour considérable à Elie. D'ailleurs, dans la troisième partie de la foule, il avait veillé à être le plus près possible de sa bien-aimée. Oui, Alvin se trouve dans la 3ème partie car ce matin là il a atteint ses 18 ans.

Le soleil commença à pointer le bout de son nez. Au fur et à mesure de son ascension les fleurs commencèrent à éclore. Les jeunes mamans poussèrent quelques gémissements en voyant leurs progénitures. En effet de petites fées avec des minuscules ailes qui battent frétiquement dans leur dos, sommeillaient sur le pollen de leur fleur. La Matriarche alla chercher une par une les bébés Fées, et les donna aux jeunes parents respectifs. Puis une fois chaques poupons dans les bras de leurs parents, le Patriarche claqua trois fois dans ses main, et une nuée de jeunes lucioles arriva autour de lui. La Matriarche apella une à une les jeunes fées ayant atteint la maturité, Elie attendît avec impatience son tour. Mais ce moment n'arriva jamais. La Matriarche rangea sa liste des noms. Elie ne la laissa pas aller plus loin :

- Père, Mère, n'auriez vous pas oublier quelqu'un ?

La Matriarche dévisagea Elie, elle lui répondît tout bonnement :

- Non Elerinna, nous n'avons oublié personne.

Elie en resta bouche bée, plusieurs phrases, dont une qui dit : - Si, moi. Mais aucune ne sortît. Le Patriarche passa près de sa fille adoptive et lui dit :

- Va rejoindre ta mère, si tu veux tout savoir, elle te le dira plus franchement en privé.

Pour Elie tout paraissait déjà clair, C'est à cause de son aile unique et déteinte qu'elle n'avait pas le droit au même privilège que les autres. Comment sa mère avait pu oser faire ça ? Elle sentit de douces mains glisser sur ses hanches, vivement, elle se retourna et s'écarta, Alvin avait encore essayé une approche. Au passage Elie avait griffé la joue de Alvin avec son unique aile.

- Me touche pas, sale pervers.

- Elie, tu sais pourtant que je t'aime à la folie.

- Déjà d'un tu m'apelle Elerinna, et de deux si tu essayes encore une fois de me toucher ce ne sera pas une légère griffe sur la joue que tu auras mais mon poing dans la figure.

Et oui, contrairement aux autres fées, qui n'osaient point se battre, Elie lançait quotidiennement des menaces aux autres.

- Eli... Elerinna, j'aimerais au moins qu'on fasse comme quand on était petit. Tu te souviens ?

- Quoi, jouer à qui saurait montait le plus haut sans utiliser ses ailes, tu rigoles, on est plus des gamins.

- Je veux qu'on redevienne amis.

- Pour essayer de me sauter dessus, fourre-toi le doigt dans l'oeil, et bien profondément.

Puis Elie se sauva à toute jambe vers sa maison, elle avait une discussion à avoir avec sa mère

Spoiler:

Chapitre 2: La naissance d'une renégat.

Les maisons des fées étaient creusées dans le chêne. Un peu comme un nid de pivers, multiplié par une centaine. Oui un véritable gruyère en forme d'arbre. La fête continuait au pied de l'arbre, mais Elie grimpa l'arbre, grâce à l'escalier qu'elle tailla avec l'aide de Alvin. Avec une seule aile Elie ne pouvait pas voler. Sinon cela créerait un déséquilibre affreux et elle tournerait en rond.

Dans la hutte creusée dans l'arbre, Matriarche semblait attendre sa fille. Cette dernière était bouillonnante de rage, Matriarche ferma son esprit pour ne pas recevoir les mauvaise onde que l'enfant dégageait. Toutes pensées négatives étaient nocives pour les Fées. Mais Elie pouvait aussi bien en dégager qu'en recevoir, sans que son coeur s'arrête de battre.

- Pourquoi Matriarche ?

Ah Elie l'a appelée Matriarche, c'était jamais bon signe. Mais Matriarche resta impassible, elle se concentra également sur les mauvaises ondes, bien qu'elle était vieille, elle tenait encore un peu à la vie, uniquement pour Elerinna.

- Ma chérie, ne t'en vois pas vexée et calme toi, je t'expliquerai uniquement si tu arrêtes de dégager de si mauvaises ondes.

Elie se calma doucement mais sûrement. Quand elle fût entièrement sereine, Matriarche, d'un geste de la main, l'invita à s'assoir. Elie obéit. Elle n'attendait à présent qu'une chose, des explications... Matriarche ne tarda pas :

- Tu n'auras pas de luciole cette année.

- Pourquoi ?! Redemanda Elie en faisant attention à garder son calme.

- Tu es trop impertinente, jeune fille, les luciole ne sont destinées qu'aux jeunes filles ayant atteint la maturité. Et ton impertinence me prouve le contraire. Je veux que tu te contrôle plus, et alors là tu recevras ta luciole.

Elerinna était révoltée, elle se leva d'un bond, Matriarche ferma de nouveau son esprit. Elie rétorqua :

- Quoi !!! Pour vous la maturité se juge sur le caractère !! Mais je ne veux pas ressembler à toutes ces pouffes trop gentilles à mon goût ! C'est écoeurant ! Et c'est totalement injuste de me traiter d'immature uniquement parce que je ne possède pas cette fausse gentillesse qui en cache beaucoup ! Au moins moi je dis les chose en face, vous, vous vous défilez et vous critiquez dans le dos ! Je le sais parfaitement, critiquer dans le dos de tout le monde ne dégage pas de mauvaises ondes ! C'est considéré comme une évacuation de l'esprit, du repos et de la sérénité ! Vous voulez mon avis, je pense vraiment qu'insulter de face et recevoir des baffes en retour est beaucoup plus sain que de casser le sucre dans le dos des gens !

Elerinna avait tellement dégagé de mauvaises ondes durant ces paroles que la Matriarche avait beaucoup de mal à repousser ce mal, cette dernière tenait sa tête entre ses mains. Elie voyait bien qu'elle faisait mal, et avant de tuer sa mère adoptive elle s'enfuit à toutes jambes hors de la hutte. Dehors elle bouscula son père. Elie courût, aussi loin qu'elle le pouvait. Elle dépassa bientôt le champ de Fleurs. Elle courût toute la matiné. Courir lui apportait beaucoup de bien. Quand il fût presque midi, Elie s'arrêta enfin, beaucoup d'énergie pour un petite personne, en s'appuyant sur un rocher, elle reprit son souffle.

- Ah, ah t'es... t'es folle de courir aussi longtemps ah... même avec mes ailes ah... j'ai du mal à te suivre ah...

Elie se retourna vivement. Ca c'était la dernière chose qu'elle aurait aimé qui se passe. Alvin l'avait suivie à tire d'ailes.

- Qu'est ce ah... Qu'est ce que tu fous ah... là ?

Alvin lui sourît tendrement, son visage était empli de gouttes de sueur, comparable à la rosée du matin. Elie le trouva pour la première fois absolument charmant. Alvin lui répondît une fois son souffle reprit.

- Je t'ai vue courir en sortant de chez toi. Alors je me suis dit que la discution avait mal tourné avec ta mère et que ce serait une mauvaise idée de te laisser seule.

Elie allait rétorquer quand elle sentit une atmosphère hostile derrière elle. Elle se retourna, ne pensant pas avoir couru aussi loin. Devant elle s'étendait Pirhus, le territoire interdit. Ce dernier était marqué par un sol brulé et charbonné. Elie fît un léger pas en avant.

- Les légendaires plaines hostiles de Pirhus. C'est incroyable. Il faut que j'aille voir ça !

Alvin s'empara du poignet de Elerinna.

- T'es folle ou quoi ? C'est interdit, si on nous surprend là bas on sera chatié du village à tout jamais.

Elie dévisagea Alvin, elle dégagea vivement son poignet en rétorquant :

- Je ne t'ai pas demandée de m'accompagner.

-Je refuse de te laisser seule !

- J'ai pas besoin de toi, ah.

Pour la première fois Elie souffrait de ses propres paroles. Elle se dit pour la première fois que Alvin était trop gentil pour recevoir de telle méchanceté. Les larmes lui montèrent aux yeux. Elle se retourna et se dirigea vers Pirhus.
Bien que la peur lui resta sur l'estomac, Alvin vola à la suite de Elie.
A deux, ils ont dépassé l'interdit.

Chapitre 3: La peur donne des ailes

Les plaines hostiles de Pirhus, portaient bien leur nom. Le sol calciné tremblait parfois sous leurs pieds. Parfois Elie devait faire attention à ne pas marcher sur un morceau de magma encore brûlant. Alvin proposa plusieurs fois de porter Elerinna, mais elle refusa catégoriquement à chaque fois. Elle n'accepta qu'au moment où elle se brûla les pieds, en marchant par mégarde sur une faille magmatique. Elie rangea son aile, pour ne pas blesser celles de Alvin, et se laissa porter, décidément voler aller beaucoup plus vite que marcher. De plus Elie aurait aimé cette sensation si l'air n'était pas empli de souffre.

Alvin, lui, avait prêté attention à fermer son esprit. Elie ne le sentait peut-être pas mais cet endroit était empli de mauvaises ondes. Une seule défaillance de la part de l'adolescent et son coeur risquait de lacher. Quelle idée d'avoir accepté d'aller au delà de l'interdit.

Soudain, ils entendîrent des acclamations peu rassurantes. Alvin et Elie virent tuute une troupe, environ un demi-millier de personnes rassemblées sous une immense tour noir. Alvin vola un peu plus près du sol, histoire de ne pas être repéré. Elie remarqua que ces hommes se ressemblaient un peu tous. Très grands, la peau brulée, avec des croutes noires. On voyait bien qu'ils avaient du mal à respirer. Soudain, Elie sentit Alvin flanchir. En le regardant, elle vit qu'il perdait peu à peu de ses forces.

- J'en peu plus Elerinna...

- Accroche-toi un peu bon sang !

Trop tard, Alvin perdit connaissance. Et tout deux s'effondrèrent au sol. Par chance il ne tombèrent pas sur un morceau de magma. Elie prit Alvin et le posa contre un rocher :

- Gros bêta, fallait le dire plus tôt que je suis trop lourd.

- Tu rigoles, t'es plus légère qu'une plume.

Alvin ajouta pour ne pas inquièter Elie :

- Mais c'est vrai que ton aile est lourde.

- Pfff, aller repose toi. Je pense qu'on a assez visité, si on se fait surprendre ici par ces euh... choses, je sens qu'on va passer un sale quart d'heure.

Mais Elie ne pût s'empêcher d'escalader le rocher. Elle remarqua que tous les... êtres calcinés (on va dire ça) portaient des armes et des flambeaux. Puis tous se mirent à hurler en regardant le haut de la tour. En suivant leur regard, Elie vit un être similaire aux guerriers mais beaucoup plus imposant, et beaucoup plus... scintillant. Il portait beaucoup de bijoux, cela devait être aussi lourd qu'écoeurant. Il clama haut et fort :

- Mes chers compatriotes, je vous suis reconnaissant de m'avoir suivi dans cette voie, pour une nouvelle liberté. A présent nous sommes suffisamment nombreux pour chasser de Antlia ces envahisseurs qui nous nous ont réduit à cet état dans lequelle nous nous trouvons actuellement. A présent il est temps de reprendre ce qui nous a été volé.

Elie redescendit près de Alvin, ils devaient repartir au plus vite, et prévenir le vilage qu'ils étaient en danger.

- Aller vite, réveille toi Alvin !

Mais l'adolescent n'eût même pas le temps d'ouvrir un oeil qu'une lance vint se planter près de Elie.

- Immonde petite vermine d'espions, vous avez pénétrez les terres de Pirhus, mourez !

Elie ne sût pas réellement ce qui se passa à ce moment là. Elle eût tellement peur qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait. Elle prit Alvin dans ces bras, et elle... s'envola. Elie ne voulut pas le croire. Elle vola, en regardant dans son dos, elle vit qu'une deuxième aile lui était poussée. En plus de voler, elle était très rapide, et en moins de 30 seconde, elle sema les êtres calcinés, et rejoingnis Aliquanta en moins de 5 minute.

Malheureusement le retour à Aliquanta ne se passa pas comme elle l'aurait voulu, car pile à la frontière de Pirhus et Aliquanta, attendaient la Matriarche et le Patriarche, un masque de sévérité et de crainte sur leurs visages...

Chapitre 4: Les traces effacées derrière moi...

Elie et Alvin fûrent emmenés sur la place du village, qui se situait juste en face de l'arbre. Elie avait regardé maintes fois dans son dos, la seconde aile avait disparu. Elie essaya de raconter à sa mère adoptive ce qu'elle avait vu et entendu, mais la Matriarche n'y croyait pas un seul mot.

- Mais puisse que je te dis que Aliquanta entière est menacée, Matriarche !

- Je ne veux rien entendre jeune fille. Et j'entends tes propos plus comme un vilain mensonge qu'autre chose.

- Mais Ma...

- Tais-toi !

Elie s'exécuta, Matriarche avait toujours été la mère à la main de fer dans un gant de velour. Mais là, Elie avait l'impression qe le gant s'était déchiré.

- Tu vas te plier au loi, Elerinna Elwë. Et assumer tes responsabilités.

Aïe, Matriarche l'avait apellé Elerinna Elwë, Elwë n'est pas un nom de famille chez les fées, en language elfique, Elwë se rapporte au étoile. Chez les fées, Elwë était attribué aux fées sans parents, "L'enfant tombé des étoiles" où "Les bannis des étoiles". Vu comment, les féed qu'elle fréquentait, mis à part Alvin, insistaient sur la prononciation du "wë", elle était plus "La bannie des étoiles", ce qui n'était pas vraiment flatteur. Alvin lui ne prononçait que très rarement ce nom-là, mais quand il y était obligé, il insistait, lui, sur le "El", qui voulait plus dire: "L'enfant tombé des étoiles", un peu plus flatteur que le précédent.
Le Patriarche éclairsit sa voix :

- A dater de cette minute, je déclare Elerinna Elwë et Alvin Eldaron, bannis à tout jamais de ce village. A présent, partez.

On entendit un gémissement aigu dans la foule. La mère de Alvin l'avait gardé près d'elle, mais le père derrière lui le poussa à terre, en hurlant, ils n'étaient pas au courant que leur fils unique avait franchi l'interdit. Le père hurla de toute ses forces, toutes les fées aux alentours prirent soin de fermer leur esprit:

- Chéri calme-toi, tu dégages des ondes nocives.

Mais le père ne se calma pas :

- Indigne ! Tu n'es plus mon fils ! Tu m'entendd ?! Tu n'es plus mon fils ! Je ne veux plus jamais te voir ! Disparais de ma vue !

Elie remarqua que Alvin ne fermait pas son esprit, et reçevait les mauvaise onde de son père comme des coups sur son corps. Elie, bien qu'habituée à la violence, surtout la sienne, ne supporta pas ce spectacle. Elle saist Alvin par le poignet et l'enmena loin du village. En prenant soin de prendre la direction opposée à Pirhus

Une fois suffisament loin, Elie et Alvin reprirent leur souffle. Elie sentit des larmes sur ses joues. Alvin voulut s'approcher, mais elle le poussa à terre et lui cria dessus :

- Plus dingue que toi je vois pas ! Pourquoi t'as pas fermé ton esprit face à ton père ? Ca y est, tu nous fais une crise d'adolescence. Tu as défié ton père et t'es fièr c'est ça ? Tu voulais faire ton beau, n'est ce pas ?! T'es qu'un pauvre con ! Tu savais, oh combien les mauvaised onded te sont mortelles, à toi plus que n'importe qui !

- Et toi alors ? Tu ne sais pas qu'envoyer des mauvaises ondes volontairement, c'est comme être inculper de meutre avec préméditation. Connaissant Patriarche, mon père va être juger sans ménagement. Je tenais à me venger au moins avant de partir, et j'ai gagné car il s'est énervé publiquement sur moi.

Elie comprit avec effroi ce que Alvin venait de lui avouer, son père le battait. Les marques ne peuvent pas être visible car c'est avec les mauvaises ondes. Elie arrêta de pleurer, car ce n'était pas elle la plus à plaindre.

- Cela n'explique pas pourquoi tu n'as pas fermé ton esprit.

- Si j'avais péro sur la place, mon père aurait été envoyé directement en prison où il aurait peut être subi la peine de mort avec un peu de chance.

La rage l'emporta sur le visage de Elie, elle frappa violement Alvin, comme elle n'avait jamais frappé personne. L'adolescente en furie le saisit par le col :

- Mais t'es vraiment malade du cerveau toi ! T'es prêt à périr pour tenir une si piteuse vengeance. T'es prêt à périr pour ton père ! Et quelle fierté t'en aurais tiré ?!

Les yeux d'Alvin devinrent ronds, il déccrocha ses yeux de ceux de Elie; il mumura :

- Aucune...

Elie était sur le point d'en rajouter une couche quand ils entendirent un... Boum, pas très rassurant. Quand les deux adolescents se tournèrent vers leur ancien village ils virent le grand arbre de la colonie en flammes. Elie voulut se précipiter vers l'arbre, mais Alvin la saisit par le poignet et s'envola loin de la colonie. Il eut raison, car les êtres rencontrés à Pirhus étaient déjà à leur trousse. Alvin vola très loin, il aperçut au bout d'un moment une des forêts des elfes. En regardant au sol, Les Pirhusiens n'étaient plus à leur trousse.
Heureusement pour les fées, les elfes étaient des alliés sur qui on pouvait compter. Alvin et Elie trouvèrent refuge dans cette forêt. Alvin s'approcha de Elie, depuis l'attaque du village, elle ne disait plus rien, elle se recroquevilla sur elle-même, créant une coquille invisible. Alvin ne sût comment la consoler, il décida de ne pas raviver ses blessures, en espérant qu'elle aille mieux dans peu de temps :

- Le prochain village elfe se trouve à une demi-journée de vol, je propose que nous nous reposions et que nous repprenions le chemin demain.

Elie se contenta d'acquiesser. Alvin la transporta en haut d'un arbre et ils dormirent sur une branche. Elerinna fit des cauchemars emplis de Pirhusiens en train de brûler et saccager tout sur leur passage. Ce qu'elle ignorait, c'est que ces événements pourraient bien se produirent à l'échelle mondiale.

bravo Malon Les bannis: L'enfant qui n'aurait jamais du renaître 38330

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Je fais l'admin chiante mais y'a une partie spécialement conçue pour les commentaires sur les histoires : https://the-new-legend.1fr1.net/commentaires-sur-les-histoires-f35/les-bannis-l-enfant-qui-n-aurait-jamais-du-renaitre-t202.htm
Voila le lien des commentaires sur cette histoire, si tu pouvais y recopier ton message, ce serait sympa, comme ça les chapitres ne sont pas ''cassés'' par les commentaires et les lecteurs ne doivent pas chercher la suite entre plusieurs messages ^^
Une fois que ce sera fait, j'effacerai nos deux messages pour qu'il n'y ait plus que l'histoire de Malon Wink